Fic's 1: Artemis, la naissance de l'ombre

PROLOGUE

D'aussi loin que vient ce monde, de nombreux héros aussi bien bons que mauvais naquirent et s'entretuèrent. Certains menèrent leurs hommes à la victoire,d'autres à la mort.Ces héros devinrent légendes et les légendes une fois assez vieilles deviennent mythes.Aussi la création de cette Terre est elle un mythe et les guerres que se menèrent les Kooris, homme-loups et les humains sont une légende.

Laissez-moi vous conter ici l'histoire d'un héros qui vaque entre le chakra et le côté maléfique de cette entité surnaturelle.Artemis Fowl...du moins Fowl est-il le nom qu'il s'est créé car en réalité il est issu d'un des plus anciens clans qui ai jamais existé.Pour cela il faut remonter aux temps anciens de ce monde où la race humaine était divisée et aussi ces classes s'entredéchiraient-elles. Le ciel était obscurcit de nuages noirs, les champs de batailles recouvraient les plaines, infestaient les cols et ls sommets des montagnes, les corps pulullaient adossés ou embrochés contre les arbres des forêts et la mer ainsi que la neige possédait une unique couleur: le pourpre.

A cette époque deux villages régnaient en maîtres en raison des clans qui les abritaient. Ils régnaient bien avant que Konoha ne fut construite...Le premier clan habitait Yuki no Kuni et était surnommé le Clan des Loups, les Kooris. L'autre était celui des humains "non-modifiés" et il n'avait pas de nom, on l'appellait juste l'Alliance Humaine et occupait Taki No Kuni. La guerre continua ses ravages jusqu'à la construction de Konoha. Cependant cet âge de paix ne fut que de courte durée. Une fois l'ère à laquelle Naruto existait, les Kooris resortirent de l'ombre, attaquant une fois de plus Taki no Kuni depuis leur citadelle glacée. Cependant il n'arrivaient pas à pénétrer les défenses intérieures et l'Alliance Humaine avait eut pendant cette ère de trêve la bonne idée de mettre ses différents seigneurs de guerre dans chaque ville. Ils prirent les rennes du pouvoir des villages et les fortifièrent afin de livrer la guerre aux Kooris. Parmis les grands noms seigneuriaux, ceux des clans Jin et Hayaku apparaissaient mais jamais l'on ne citait celui des "renégats" qui avaient décider de s'écarter des combats comme le clan Akatsuki spécialisé dans la capture des démons.

Pendant les années de guerre incessante qui suivirent, les clan renégats futent oubliés, les murmures prononçant leurs noms s'estompant peu à peu. Ainsi lorsque la guerre pris fin personne ne connaissait encore leur existence et les Kooris avaient été vaincus, tués pour la plupart et pour le petit nombre restant, jetés en prison pour servir la justice en cas d'éxécution publique. Les Jin, Hayaku et autres personnes appartenants à des clans ayant pris trop de puissance dans les formules du chakra ne tardèrent pas à les rejoindre dans les geôles de Taki et là tous disparurent. Mais chaque clan vit quelques uns de leurs membres en réchappé. Les Hayaku notemment s'installèrent à Suna et se cachèrent pendant quelques temps avant que leur nom puissent à nouveau être prononcé sans éveiller de quelconques souvenirs.

C'est ici que notre histoire commence car il faut remonter à l'époque où le grand père d'Artemis vivait pour que l'histoire soit comprise.

Un cheval arriva au grand galop devant les portes de Suna.

Halte ! Au nom du Kazekage veuillez-vous...

Le cheval était devenu un dragon cracheur de feu qui fouettait l'air de sa queue et qui au lieu de montrer patte blanche, exhibait fièrement une énorme patte griffue.

Fuyons !

Les deux gardes qui surveillaient la portes s'enfuirent...Quelques minutes aprèes le dragon disparut et le cheval passa lentement à travers une la brume de l'étrange apparition draconique.Il portait sur son dos deux passagers dont l'un un enfant.

~~ Merci Gobi

Mais de rien Antares, après tout tu es mon maître et je suis ton démon

Ne tente pas de m'endormir par tes fourbes paroles Maître des Illusions

Désolé, un vieux réflexe ~~

L'étrange trio entra dans la ville et fonça vers les bas quartier pour se diriger ensuite vers une zone mieux fréquentée.Là ils entrèrent dans une rue lorsque soudain une bande d'homme les encercla.

Votre nom je vous prie.

Antares Akatsuki. Membre du clan Akatsuki. Je viens voir mon frère.

Le code ?

Akayaku.

L'homme retira sa capuche et fit signe aux autres de se disperser.Sa coupe était faite au carré et ses cheveux tiraient sur un blond grisé. Ses yeux étaient d'un marron foncé inhabituel.

Mon frère il est bon de te voir.

Je pourrais en dire autant.

dit le premier cavalier qui releva sa capuche laissant tomber une chevelure lisse, longue et brune. Une barbe de plusieurs jours occupaient la figure de l'homme et des yeux bleu ciel d'une limpide clarté donnaient à son regard un éclat sans pareil.

L'homme regarda le bébé que tenait le second cavalier.Celui-ci le pris dans le creux d'un de ses bras,retirant sa capuche et dévoilant un visage aux traits fins et à la chevelure d'un noir de jaie.

Alejaïa, votre présence en ces lieux me comble de joie. Mon frère m'a souvent parlé de sa magnifique épouse. Je puis dire qu'il m'a menti...car vous êtes plus belle que le portrait qu'il me fit.

Il en va de même pour moi Kassalos, mon mari m'a souvent parlé de son frère et il est aussi flatteur que ce qu'il m'avait dit.

Les Hayaku ont dut apprendre à manier les secrets du mensonges et de la dissimulation pour pouvoir rester en vie et se fondre dans la masse. Pardonnez cette habitude prise.

Elle vous honore. Vous avez su vous adapter à la trahison des moins puissants mais des plus nombreux. Nos ancêtres et ceux des clans renégats ont su pister leurs fausses promesses et ont eu la chance de pouvoir s'enfuir.

Oui,mais veuillez m'excuser de l'impolitesse dont je fais ici preuve. Je vais vous mener en ma demeure tout deux. Le reste de la conversation doit être privé et fait en un lieu plus commode à cette "réunion familliale".

Les participants à cette conversations remirent leur capuche et Kassalos pris le cheval parl a bride afin de l'emmener vers sa maison. Ils durent traversé des rues emplies de nappes de brouillard et au sol recouvert de sable. Après un périple d'une trentaine de minutes à travers le dédale de ruelles qui constituaient la planque du clan Hayaku, ils arrivèrent devant une maison aux trois tours effilées et sombres. Les cavaliers mirent pied à terre et entrèrent dans le batiment.Ils passèrent par un couloir, retirant ainsi leur cape et passant ensuite dans un salon meublé d'une bibliothèque, un canapé et trois fauteuil autour d'une table basse.

Asseyez-vous je vous en prie.

Merci.

L'homme revint quelques minutes après alors que ses invités ne disaient mots et posa sur la table une théière, une bouteille de sake, quelques gateaux et des tasses.

Bien, alors que me vaut cette visite arrangé et ce précipitemment ?

La même que celle qui te fit entrer dans le clan recueilli par le frère de notre père.

Ha...Vous avez eu aussi des jumeaux...

Oui et le code du clan Akatsuki est stricte.Un seul enfant par couple jusqu'à ce qu'il ai sa majorité et sa propre maison.

C'est normal vous savez...Si les Kages vous trouvent...

Que pourraient-ils dire ? Nous somme des nomades point...L'excuse est...

Alejaïa...Mon frère et moi devons t'avouer quelquechose..mais tu ne dois pas le répéter, compris ?

Oui Antares.

Bien, raconte lui ce qui se passe.

Bien...Alejaïa vous savez qu'il y a quelques générations un Akatsuki et un Hayaku devinrent les meilleurs amis. Un jour hélas, l'homme de l'Akatsuki vint voir son frère d'armes avec un bébé en ses bras. Il avait eu des jumeaux et le code lui edictait d'en abandonner un dans la nature. Cepednant il n'eut pasl e coeur à laisser ainsi sa progéniture aux loups. Aussi le ramassa-t-il quelques heures après son abandon devant le chef de clan... Comme l'a fait Antares d'ailleurs. Puis il vint trouver son ami et le supplia de prendre son fils pour enfant adoptif et de veiller sur lui. L'homme par son amitié et par l'émotion de voir une telle détresse chez son ami ne put qu'accepter. Par la suite le problème commença pour votre famille...et donc aussi pour moi. Chaque fois que nous avons des enfants. Le premier acocuchement donne naissance à des jumeaux. Aussi le seul moyen de sauver l'enfant qui doit être abandonné aux bêtes est de l'amener à la branche secrète de la famille installée ici.

Et où est le problème ?

Il n'y en a aucun dans ce que je viens de dire...Enfin...Bref je vous faisais juste un rappel de cette "tradition" familliale. Le problème est que, lorsque les grandes familles de seigneurs de guerres et leurs membres de clans furent arrêtés, certains délivrèrent de précieuses informations. Des noms de clan et leur spécialité. Aussi les Kage désormais ont rédigé un inventaire des clans...Dont fait partit les Hayaku et l'Akatsuki. Le problème est qu'ils ne connaissent pas la position d'un grand nombre de clans et, pour ceux qui sont dans le cas du notre, il faudrait prouver qu'ils sont dangereux pour le bien être du peuple alors que nous ne le sommes pas. Cependnat ils ne vonr pas tarder à ratifier un ordre d'arrestation pour interrogatoire de toute personnes vivant en dehors des villages shinobis de la feuille, de la cascade, du vent, de l'eau, de la neige, de la foudre, de la terre et du son.

Donc une nouvelle guerre ne tardera pas ?

Je parlerais plutôt d'une chasse. Kassalos dit moi, y a-t-il des clans qui furent supprimés déjà ?

Non, pas à ma connaissance. Le seul clan qui ai disparu ce fut lors de la guerre où les Kooris réduisirent à néant les braves du clan du Dragon. Mais peut-être que certains survivants errent et vivent encore.

Bien. Je te présente Ménataï.

L'homme avait pris son fils et le tendit à son frère.

Quel est le nom du premier sorti ?

Arès. Il se nomme Arès.

En ce cas je lui apprendrai toute son histoire et le nom de son frère lorsque le temps le voudra bien. Mais je te promet de l'élever du mieux que je pourrais.

Bien. Nous n'avons que trop traînés. Nous devons être rentrés avant le lever du soleil.

Oui sinon ça crééra des soupçons et ils risquent de se douter de quelquechose.

Les trois personnes se levèrent et allèrent vers le couloir, prirent leur cape et sortirent. Une fois de plus, Kassalos mena son frêre et la femme de ce dernier à travers les brumes, le sable et les ombres du quartier des Hayaku et une fois arrivés à la sortie ils firent leurs adieux et se quittèrent rapidement.

Ainsi débute la saga d'une des plus grandes légendes de l'ère qui suivit celle où Naruto fut shinobi.

CHAPITRE I : ASSASSINATS

Ainsi Arès, grâce à sa place de premier bébé sorti du ventre de sa mère, resta officiellement fils unique de sa mère et à sa majorité recevait hélas la vérité alors que son père mourrait aux champs d'honneurs, tué en combat par des Sanins,tout l'héritage secret de sa famille lui fut divulgué et Arès pris contat avec son frère une fois sa décision de tuer les Sanins pour venger l'honneur de sa famille prise. Cela lui pris longtemps car ils étaient issus de différents villages et étainet difficilement approchables...

Le premier était issu de Suna no Kuni, le village du sable et du vent qui se trouvait en plein désert. Arès avait longtemps hésité avant d'entreprendre cette croisade vengeresse à travers un monde où les clans qui jadis abandonnèrent la cause anti-Kooris étaient traqués sans relâche. Cette hésitation était liée au fait de laisser sa demeure vide et donc une place vacante au sein du clan et de voir son nom disparaître de la mémoire du groupuscule auquel il appartenait mais aussi de voir celle qu'il aimait l'oublier ou pire encore être mariée à un autre à son retour... Mais il ne pourrait l'épouser qu'une fois son honneur recouvert et, aussi la grande marche appelée communément en tant qu'événement majeur du clan Akatsuki: La Marche Mortelle, commença-t-elle dès qu'elle le put.

Arès avait marché pendant une vingtaine de jours à travers le désert sous un soleil de plomb. Il avait heureusement pris suffisement d'eau pour ne pas souffrir de la soif mais aussi sut l'économiser et la conserver de la chaleur. Il arriva enfin devant la première ville qui subirait sa colère...

Suna no Kuni...Village du Vent...Village de l'assassin de mon père...Village qui verra le dit assassin périr le plus tôt possible...

Il avança vers la porte et dut se signaler aux gardes.

Halte on ne passe pas ! Veuillez vous identifier !

Je me nomme Kanathor Kiribate, je viens d'Oto no Kuni...raison touristique...

Bien vous pouvez nous montrer le parchemin d'identité d'Oto ?

Bien sûr...

Arès avait parlé d'une voix calme mais réflechissait au moyen de s'en sortir...

~~ Je crois qu'il va falloir hélas me faire remarquer aujourd'hui...cela présentera plus d'obstacle...mais peut-être ma proie se montrera-t-elle plus facilement ~~

L'un des deux hommes s'avança pour prendre le papier...Au même moment Arès enflamma un coin du parchemin et éxécuta une roulade vers l'autre homme qui dégaina son katana. Le premier garde subissait l'explosion du parchemin explosif mais le second ne put que s'écrouler la gorge perçé d'un kunaï lancé avec précision par son adversaire qui à la fin de son acrobatie était arrivé accroupi et avait propulsé l'arme de jet...

Les quelques voyageurs se tenant derrière les combattants commençèrent pour certains par paniquer, d'autres à dégainer leur katana...

~~ Le quartier des Hayaku est ma seul chance... ~~

Arès fonça droit à travers l'artère principale de Suna, se mouvant avec rapidité dans la foule. Il vit alors un couloir où le sol semblait être couvert d'une espèce de nuage poussiéreux...sablonneux pour être plus précis... L'homme s'y engouffra et fonça à gauche pour se retrouver...avec une lame sous la gorge.

Quel étranger ose s'engoufrer dans la zone appartenant aux Hayaku...Par étranger nous voulons dire personne exérieure à Suna évidemment. Inutile de nous dire que tu es d'ici, nous connaissons tout le monde ici...

Je me nomme Arès, fils d'Antares et neveu de Kassalos, protecteur des entrées du quartier détenu par le clan Hayaku.

Alors bienvenu mon neveu.

Le Hayaku fit signe aux autres de baisser leurs armes, ce qu'ils firent et il approcha d'Ares. Il rabattit son chapeau en arrière et baissa son masque de shinobi, découvrant ainsi une chevelure coupée au carré, grise, un visage rasé et des yeux noirs... On aurait eut du mal à croire que cet homme était le frère faux-jumeau d'Antares...

Tu ressembles à ton père...Mais viens donc m'apporter ces nouvelles...

Il pris le cheval par la bride puis remis son masque et son chapeau avant de se pencher vers l'un de ses hommes et de transmettre des ordres par chuchotements. Il emmena ensuite en sa demeure le jeune Arès qui ainsi allait rencontrer son frère par la même occasion...

Ca fait combien de temps maintenant ? Vingt trois ans ?

Vingt quatre mon oncle...

Exact, toutes ces années à savoir que j'avais un neveu sans toutefois l'avoir vu et lui avoir parlé...

Et moi cela fait de longues années que j'attends ce moment, je vais enfin rencontrer mon frère et faire la connaissance de mon oncle...

Ton frère est au courant...je lui ai dit le jour de sa majorité...Afin qu'il sache qui j'étais vraiment pour lui...

Mes parents ont fait de même pour moi, hélas il ne me reste désormais plus que ma mère que j'ai dut quitter alors qu'elle est tombé gravement malade...

Tu veux dire qu'Antares est...

C'est la raison de mon arrivée soudaine ici...

Ils arrivèrent devant la maison de Kassalos, l'homme attacha le cheval dans un apprenti et versa de l'eau et de la nourriture dans une mangeoire et un abreuvoir avant de faire entrer son neveu chez lui. Une fois entrés, ils laissèrent leurs effets dans le vestibule, là où vingt quatre années plus tôt Antares et sa femme avaient posés leurs manteaux avant de confier leur second fils à Kassalos...Il le fit entrer et s'asseoir dans un fauteuil puis alla préparer du thé.Il revint au bout d'une vingtaine de minutes avec un plateau argenté aux arabesques dorées et servit le thé dans un service aux mêmes tons, servit le liquide chaud et fyumant aux tons ambrés dans les tasses et finit par s'asseoir...

Comment cela est-il arrivé ?

On était en mission dans l'archipel de Kiri no Kuni...On était dans une petite jonque et on devait assassiner le Hokage qui tenait une réunion avec le Mizukage...si jamais ça foirais une autre équipe devait tuer le Mizukage...Chaque groupe avait des tenues des différents villages pour faire croire à une tentative d'assassinat de l'autre camp...

Pourquoi une telle opération ?

Ne me dis pas que tu n'es pas au courant s'il te plaît...Toi et mon père saviez que les Kages planifient une attaque...Il me l'a dit et c'est la raison pour laquelle le chef nous a confié pareille mission...Nous devionscréé une guerre entre le continent et l'archipel pour que la flotte de Konoha s'installe et fasse blocus au port de Kiri...Ensuite bien sûr les autres villages auraient tout fait pour arrêter ce blocus et être desservis en marchandises...

Et provoquer une guerre à travers tout le continent...et cela avec un apport économique de chaque côté...

Oui et les alliances qui se seraient formées par la suite auraient été réduites à néant par des opérations comme celle-ci...Mais nous avons été trahi...Ils savaient...A peine est-on arrivé que trois vaisseaux sont arrivés à côtés et ont descendu des jonques d'abordage pour nous attaquer...On a fait immédiattement route vers l'archipel, ils s'attendaient à ce qu'on s'enfuie en pleine mer pour meiux nous avoir mais on a fait l'inverse...Arrivé là-bas on a profité des quelques zones montagneuses et on a envoyé un faucon pour prévenir le cehf...On a observé le navire et l'autre jonque a volé en éclat...Ils n'ont pas été averti...On en a pas eut le temps...

Comment as-tu rejoins le continent ?

Nous nous sommes fondus dans la masse pendant deux longs mois loins de notre patrie et avons réussis à embarquer sur un navire de contrebande qui emmenaient aussi des réfugiés des exactions menées contre les clans des îles...Tout allait bien et nous faisions voile vers le port principale lorsque le navire d'Oto est sorti des brumes tout d'un coup...heureusement nous avons eut le temps de sauter avec une embarcation...Et nous avons finis par débarquer sur les plages sud pour repartir droit à Suna...Là-bas nous attendait une deuxième cible...On pensait alors que notre embarcation avait été juste repérée par la sécuritée locale...On se trompait...Et on ne l'a sut qu'en cette froide soirée passée dans le désert du Pays du Vent et du Sable...Nous étions à couvert entre des rochers...nous pensions être à l'abri vu que nous étions encore loin de Suna mais c'était l'inverse un Sanin de Suna menait trois Sanins, l'un de Konoha, un autre de Kiri et un autre encore d'Iwa. Chaque Sanin avait avec lui deux Juunins...dont l'un à chaque fois était spécialisé dans la médecine...Autant dire que le combat fut inégal et que nous avons fuit vers la jungle...C'est là que nous somme tombés en plein dans leur piège...Nous étions attendus par deux Sannins de Kumo cette fois...

Leur alliance est donc très étendue désormais...

En effet...Et c'est là que mon père et les autres ont trouvé la mort...

Et toi ?

Mon père m'a demandé comme dernière volonté de survivre...Je l'ai suivie à la lettre et me suis cachée et enfuit grâce à la technique Doton...

Et après ?

Je suis revenu quelques heures après...Ces odieux tueurs les ont pendus aux branches des arbres...Jel es ai décroché et leur ai offert une sépulture digne...

Je vois...Et laisse moi deviner...A ton retour le chef de clan t'a dit de retrouver et tuer les assassins pour récupérer l'honneur bafoué de ta famille...

Exactement...

Quel est le nom de ce Sannin...?

Je l'ai identifié comme étant Asekarï Natemoko...

Kassalos faillit renverser sa tasse et semblait se retenir de hurler à l'évocation de ce nom...Il se calma puis posa une question à son neveu d'un air cependant un tantinet stressé et énervé...

Sais-tu au moins qui est cet homme et où il réside ?

Il réside dans juste à côté du bureau du Kage vu qu'il en assure la protection et il est l'un des plus grands sanins grâce à l'important nombre de ses victimes, toutes issues de clan comme les nôtres...Il était notre seconde cible...

Exact ! Et tu comptes l'attaquer seul pauvre fou ?! Hier encore un Hayaku a été décapité en place publique après avoir été attrapé en dehos du quartier où le clan vit ! Cet homme veut notre mort à tous !

Et moi je veux la sienne !

Tu n'est pas assez fort ni expérimenté !

Mon oncle je... !

La porte s'ouvrit d'un coup et un jeune homme fonça droit sur Arès, tête baissée, et le fit basculer en arrière sous le choc... Arès sentit alors une sensation froide contre sa gorge... Son attaquant tenait un fin poignard aiguisé et l'avait mit contre la carotide...

Vous allez bien mon oncle ?

Je vais parfaitement bien mais lâche ton frère veux-tu ?

Mon... Mon frère ?

Il lâcha prise et se mit debout, Arès pouvant ainsi faire de même... Rien ne rapprochait phusiquement les deux jeunes hommes...

Bienvenue...

Merci...

Ni l'un ni l'autre ne semblait savoir quoi dire... Soudain contre toute attente il tombèrent l'un dans les bras de l'autre et se firent l'accolade...

Il...Il est bon de savoir que celui qui, de par sa faute, fut écarté alors qu'il était mon frère va bien...

Et il est bon de trouver celui grâce à qui on a put tirer de grands enseignement en sa demeure et de savoir qu'il est son frère...

Les deux frères finirent par relâcher leur étreinte...Jamais ces hommes ne s'éaient jamais vu et l'un deux avait une raison d'en vouloir à son frère....Pourtant ils s'étaient serrés l'un contre l'autre comme des frères qui jamais ne furent séparés.

Que fais-tu ici ?

Je viens venger notre père...

Mais tu es donc inconscient ?

Le venger de qui ?

N'écoute pas ton frère Ménataï, ce fou veut s'en prendre au bras droit du Kazekage...

Le Sannin qui a osé tuer notre frère d'arme ? Mon oncle je ne laisserai pas passer une occasion de me venger ! J'aiderai mon frère afin de récupérer l'honneur perdu de notre père et laverai l'affront fait au clan !

A ces mots, Kassalos s'affala dans son fauteuil, la mine ravagée par la fatigue et lassé par le courage fou de ses deux neveux...

Hé bien allez-y ! Vous êtes majeurs de toute façon alors allez vous faire trancher la tête si vous le désirez. Vos parents et moi même auront tout fait pour vous enseigner ce qu'il fallait...

Les deux jeunes hommes se regardèrent avec une lueure commune dans les yeux et Arès suivit son frère qui voulait lui faire connaître chaque recoin de la ville...

Kassalos ne fit pas de gestes pour les retenir...

Désolé Antares, j'aurais fait de mon meiux pour l'en empêcher...plutôt les en empêcher...Mais ils ont la même fouge que leur père...Pourquoi ne pas avoir choisi d'être un enfant calme !?

Alors que Kassalos s'appitoyait sur son sort et critiquait davec moults remarques et une grand énérvement son défunt frère, nos deux futurs héros arpentaient les rue de la ville du Vent. Le soleil se couchait d'ailleurs, tintant, de son ton pourpre, les murs sablonneux de la ville et leur donnant un air de cascade de sang grâce aux couleurs rougeoyantes affichant différentes teintes en fonction de la hauteur de l'astre couchant... Bref il était l'heure où les marmots piailleurs devait se coucher sous l'oeuil attentif de leur mère, les pères fermant les portes et fenêtres pour éviter les mauvaises surprises au réveil...Mais il était aussi l'heure où le clan Hayaku étendait son territoire à travers toute la ville, une brume froide parcourant le sol, emportant un peu de sable avec elle et rendant invisible la surface du sol... Ils s'étaient cachés derrière un assemblage d'étals de marchands... Leur plan machiavélique devait fonctionner car sinon il s'avérerait suicidaires pour les deux jeunes hommes car en cette époque où les guerres avaient fait rage, chaque ville était justement fortifiée pour résister aux assauts des autres villages et le joli bureau actuel du Kazekage était remplacé par une forteresse surveillée par des Sannins et avec une garde de Juunins constamment relayée..Bref il s'agissait de l'endorit le mieux gardé de la ville...Plus tard, avec la fin des clans, les villages se démilitariseraient, redevenant de simples cités dont les seules défenses engageraient uniquement leurs shinobis et leur mur d'enceinte...Mais en plus de cette garde rapprochée, depuis la tentative d'assassinat et la mise en route du plan des Kages, les shinobis du grade Chuunins veillaient à chaquee coins de ville...Heureusement, le clan Hayaku pour sa survie, avait infiltré cette garde afin d'éviter à leur compatriote de se compliquer la vie à éviter les patrouilles et les gardes veillant au grain...

Bref, les deux entêtés s'étaient cachés derrières des étals de marchands soigneusement rangés et entreposés.Ils faisaient dos devant le bastion dont la plus haute tour aux formes arrondies contenait le bureau du Kazekage et avec quatres avancées dans les airs contenant chacune un bureau de Sannin affectée à la garde de celui qui fut leur senseï...

Il est affecté dans ce que nous appelons un bureau-observatoire...Il est dans celui-qui nous fait face...Le nord...Je hais cet homme pour ce qu'il a fait...Depuis deux générations il tue tout ceux qui sont du clan Hayaku et il hexibe leur tête en place publique...en la faisant garder jour et nuit par une équipe de Juunin qu'il a formé lui même...

Et moi je le hais pour tout le mal qu'il a fait à notre famille et à nos frères de l'Akatsuki...

Ok alors voilà ce qui va se passer...Nous sommes jour de pleine lune et la lune passe devant mars...On appelle ça une nuit de lune rouge...La brume et le sable ont alors des réactions étranges que même les Hayaku ont du mal à comprendre...Le sable entre ne mouvement et notre brume est donc partout...Même sur les murs des bâtiments...

Parfait...Si j'ai bien compris on grimpe au mur et on entre pour le tuer...

L'assassiner Arès ! Le tuer voudrait dire qu'il nous a vut et a put résister...Hors si nous voulons faire peur à tout les autres Sannins et aux rangs de classe plus faible, il nous faut l'assassiner...

C'est lâche...

La peur nous aidera dans le combat à venir...

Tant mieux alors...Je m'en charge...

La prochaine patrouille arrivera dans une vingtaine de minute...ça nous laisse peu de temps pour...

Ok alors allons-y au lieu de continuer à parler...

Les deux hommes foncèrent chacun d'un côté de l'avancées et grimpèrent au mur, le sable et la brume les couvrant...Ils entrèrent chacun par une fenêtre et pénétrèrent dans le même couloir, se cachant immédiatement dans les ombres de l'endroit pour ne pas être vus des Juunins gardant la porte...Ménataï tira le petit poignard que portait chaque Hayaku et dont la lame était courbe, Arès dégainant lentement et sans bruit son katana...L'assaut fut simultané, le Hayaku prenant à la machoire le premier garde, la bloquant et d'un geste vif tranchant la gorge du Juunin, l'Akatsuki tranchant d'un coup la tête du second et la rattrapant pour éviter qu'elle ne provoque une quelconque alerte...Immédiattement Arès alla vers la porte mais fut arrêté par son frère qui lui afficha un regard voulant dire: " Ca va pas la tête ? " Il poussa lentement la porte, le shinobi dormant, la tête écrasé par son bureau et semblant avoir encore beaucoup de travail...

Arès s'avança et mis sa lame au-dessus de la nuque de l'homme...C'est alors qu'une voix pris forme dans sa tête...

~~ Allez Arès ! Vas-y ! Tue-le ! Venge ton père et reprends ton honneur baffoué !

Qui...Qui es-tu ?

Ton père ne t'as jamais parlé de moi je suis un démon....secondaire...je suis transmis par l'hérédité lorsque ton âme abandonnera ton corps j'irais dans celui de ton meilleur descendant...Un Akatsuki obligatoirement...En fait je choisis le plus incotrôlable, le plus instable, le plus violent, celui en qui la haine règne... et dont il pourra faire usage pour terasser quiconque !

Alors tuons ce type ! ~~

La lame s'abattit dans la nuque de l'homme...qui disparut en un nuage de fumée...Le Hayaku se rapprocha alors de son frère, lui faisant dos et le duo exercant un mouvement rotatif sur lui-même...

Qu'est-ce qui se passe bon sang, pourquoi ce n'est pas le vrai...

Parceque ton entrée d'aujourd'hui n'a pus que donner l'alerte et donc le faire le soir même est stupide...nous aurions dut attendre, nous nous sommes laissés pousser par la colère et la vengeance...

C'est exact...J'ai longtemps étudié les clans...Mes premières affectations ne touchaient que les Hayakus...Mais lorsque j'ai appris que vous seriez de passage ici...Je n'ai put m'empêcher de vous montrer comment l'on accueille les créatures dans votre genre...et je me suis ensuite renseigné...Quelle idiotie cette histoire d'honneur perdu ou gagné...Je savais que tu reviendrais vite et ton entrée ainsi que la description qu'on m'a faite de toi correspondait parfaitement à mes attentes...Tu as foncé droit dans la gueule du loup...

L'homme sortit de l'ombre dans une tenue noire, katana à la main et tenant de l'autre entre chaque doigt des shurikens...Ses cheveux étaient coupés court et étaient grisonnant...il était de taille plutôt grande et avait une musculature plutôt développée...Mais c'était son regard semblant cruel et sanguinaire qui attirait l'oeuil...

Et aujourd'hui j'ai droit à un Akatsuki et un Hayaku...c'est parf...Hurg !

Une lame courbe venait de dépasser de la gorge de l'homme et s'écrouler au sol...Ménataï disparut en fumée aux côtés d'Arès...

Si je n'avais pas reçu l'entraînement que reçoit tout Hayaku pour survivre dans les ruelles sombres de cette ville...ce type aurait continué à tenir son monologue pour ensuite nous tuer...

Je suis navré mais ma tactique ne consiste pas à me glisser futilement dans l'ombre pour tuer tel un voleur...

Les deux frères se dévisagèrent avec mépris...Arès était tout le contraire de son frère sur le plan psychologique...Il aimait le combat au corps à corps, la vue d'un ennemi sentant sa vie partir au fur et à mesure que les blessures envahissaient son corps mais aussi le ocmbattre à la loyale et donc à sa juste valeur...Ménatâï lui vivait pour assassiner, espionner et saboter le tout dans le mystère le plus total...deux conceptions du combat et deux théologies totalement opposées...Les hommes continuèrent à se toiser du regard jusqu'à ce que des bruits retentissent dans les escaliers.On venait chercher le Sannin...

A les entendres...Ils sont une dizaine...et en sentant leur aura ils sont...

De rang Juunins dont quatre spécialisés dans le médical...

Je vois que notre père ne t'as pas enseigné que le maniement des armes mais aussi comment ressentir un ennemi et l'évaluer...Mais j'aimerais aider tout les Hayakus qui attendent d'êtres condamnés dans les geôles putrides de cet endroit...Le seul problème c'est qu'elles sont en bas...et que le seul accés présentement pour descendre c'est de là d'où viennent nos adversaires...

Alors c'est par là que nous irons...

Je ne vois pas comment...

Cache toi dans l'ombre et attend qu'ils entrent...Je m'occupe du reste alors que toi tu files droit en bas...

Je vois mal comment tu vas supprimer une dizaine de Juunins pouvant être soignés rapidement...

Eloigne toi juste suffisamment de la porte...

Il sortit de son sac six parchemins explosifs...il en mis deux devant lui, c'était à dire au milieu de la piéce puis en posa un dans chaque coin de l'encadrement de la porte...

Bonne chance...

Bon combat...

Le Hayaku alla dans l'ombre et attendit que l'ennemi entre dans la pièce...

~~ Bourrin ~~

Les Juunins entrèrent, et voyant l'un de leurs supérieurs au sol crièrent vengeance...Arès lança un shuriken couvert de salpetre et de poix le tout enflammé...Le shuriken qui semblait épais ce divisa en quatre depuis sa hauteur et chacun se dirigea vers un parchemin de la porte...L'explosion fit s'écrouler tout un pant de mur et Ménataï dut se jeter au-dessus d'une poutre pour arriver dans le couloir et ensuite fuir vers les geôles...

Il restait encore dans la salle quatre des dix Juunins...L'un deux examina l'un des deux corps gisant hors des décombres...Il fit non de la tête en regardant ses coéquipiers et se dirigea vers eux...Arès était en garde, cachant dans ses manches deux autres shurikens couverts du même mélange inflammable, ses mains serrés sur son katana...

Je n'ai pas pu sauver les autres...

Ce n'est pas grave ! Il va payer pour tous les morts de cette nuit...

Si vous avez un problème n'oubliez pas que je suis le dernier de vos soigneurs...

On sait merci...

Vous comptez vous appitoyer et vous disputer encore longtemps...Je vous attends là...

Arès n'était pas guerrier pour rien...Il savait que se moquer d'un adversaire l'ammenait à la colère et que si il ne savait pas la maîtriser, la contrôler ou mieux, la transformer en une force, il ferait des efforts...Les Juunins spécialisés comme combattants fonçérent droit sur lui...le premier passa les parchemins alors que les deux shurikens d'Arès passaient chacun à côtés de lui, enflammés et fonçant droit vers la deuxième ligne de parchemins qui explosèrent quelques secondes après, propulsant l'homme ocntre le mur et réduisant à néant les deux autres attaquants...

Kise ! Où est-il...

Une ombre se dessina à travers la fumée devant le soigneur et il dégaina un petit katana de combat...Arès sortit de l'écran gris et fonça droit vers son adversaire qui fit un coup lançé en avant pour tenté de le trancher...Juste à ce moment Arès sauta et frappa au coeur, lachant son katana et se déposant au sol ensuite alors que son adversaire s'écroulait...

La feinte de l'aigle...Tu aurais mieux fait de te méfier...

Il se releva et pris son arme puis alla vers son dernier adversaire qui ne s'était toujours pas relevé...

Hhhh...Hhhh...Je...Je te hais...Quel est ton nom..?

Tu as la colonne vertébrale brisée et tu oses encore me défier et me demander mon nom...Je vais te tuer et mettre fin à tes souffrances mais sache que mon nom est...Arès Akatsuki...

Il lui trancha la gorge et s'en alla prestement pour tenter de trouver les cachots...

* * * * * * * * *

Ménataï avait sauté juste avant la chute des décombre du haut du mur...Il se retourna alors qu'il rebondissait au sol voyant Arès disparaître avec ses ennemis derrière les morceaux de murs et de solives s'écrasant pour former une barrière nouvelle remplaçant le mur...

Bien...J'espère qu'il va s'en sortir pendant que je vais les délivrer...Et surtout si il s'en sort qu'il réussira à trouver et se frayer un chemin jusqu'à la prison pour m'y retrouver et que je ne sois pas partit avant pour mettre les autres à l'abri...Cette explosion va donner l'alerte à la garde...

Il courut à travers le couloir et descendit les escaliers...

Par ici les gars, c'est de là que vient l'explosion...

Mais c'est vers le bureau du meilleur des quatre sannins ! Qu'est ce qui a bien put se passer...

~~ Toujours dans mes pattes ces gardes... ~~

Ménataï pris une autre apparence après s'être souvenu de la tête d'un des adversaires arrivé dans la salle...Les hommes arrivèrent à son niveau...

Kakushori, tu viens de là-haut ? Qu'est ce qui se passe...

Un Hayaku vient de tenter d'assassiner le premier Sannin de la garde personnelle du Kazekage ! Tout accès par l'intérieur du batiment est condamné par les décombres de l'explosion et poser un parchemin explosif pour faire sauter le tas ne pourra que risquer de faire s'effondrer le bureau du Sannin...Le seul accés possible c'est par la fenêtre et encore je doute que vous arriviez à temps...Maître Asekarï Natemoko était au sol lorsqu'on est arrivé...Peut-être l'a-t-il tué...

Les gars faut que l'on fonce dehors pour sauver ceux qui peuvent encore l'être...

Toute l'escouade fonça à l'exception du chef qui s'arrêta après avoir parcouru quelques mètres alors que Ménataï sous les traits du dit Kakushori avançait en marchant...

Je peux savoir pourquoi tu n'es pas resté avec les autres là-haut pour les aider...

Je te l'ai dit...Impossible de passer donc je descendais chercher du renfort pour passer par dehors...On a été séparé...

Mais tu n'as pas l'air d'aller vite pour l'aider en passant par l'extérieur...

Ménataï fronça les sourcils et prépara dans son dos deux kunaïs...

C'est quoi ton problème ?

C'est que normalement tu es l'archétype du gars qui cherche la gloire, tu fonces droit sur l'ennemi et là tu recules...Soit ce que tu as vu t'as vraiment fait peur...Soit tu tentes de nous écarter pour tenter de ramasser toute la gloire et ceux au risque de subir des morts dans ton équipe voir d'avoir sur la conscience celle du maître Sannin Natemoko...

J'allais m'assurer qu'un autre Hayaku ne profitais pas de la confusion pour pénétrer dans les prisons et libérer ses petits amis...

Il descendit quelques marches mais arrivé au niveau de l'homme il fut retenu par le bras...La réaction fut rapide,souple et violente...Les kunaïs glissés entre les doigts de Ménataï s'enfonçérent droit dans le cou de l'homme et descendirent tout le long de la gorge laissant couler un flux de sang ininterrompu...Il retira ensuite ses kunaïs et courrut à travers les escaliers...

Aprés quelques minutes de courses il passa devant la porte principale et s'arrêta dans un coin d'ombre pour souffler...Il repris sa véritable apparence et regarda attentivement les indications...

~~ Allons où l'ont-ils mis...Euh...Ah mais je suis un bakedano ou quoi ! L'écriteau est juste devant....gaaaaaa...Moi qui ai tellement appris à avoir un bon sens de l'observation...Bon donc le passage qui y méne fait face à la grand porte...D'aaaccord... ~~

Il regarda le passage devant lui,une voûte sombre laisser descendre en les profondeurs de la terre un escalier grisâtre et des têtes de morts servaient de reliefs aux blocs de l'arche...Menataï pénétra dans le corridor,il descendit la volée d'escalier et arriva devant une porte...Il l'ouvrit légérement et doucement et découvrit un garde ronflant et bedonnant assis sur son tabouret devant une bouteille de sake à moitié finie et un verre renversée...A sa cuisse pendait un trousseau de clé...Ménataï ferma lentement la porte derrière lui après s'être glissé dans un espace suffisemment grand qu'il s'était créé en écartant la porte...Il s'approcha du garde et tira cette fois-ci son katana...Il eut alors deux flash-back

~~ Premier Flash Back ~~

Il était en plein entraînement avec son père adoptif et oncle, Kassalos, qui après l'entraînement physique était passé à un entraînement philosophique et moral...Hélas Menataï n'avait pas donné la réponse qu'attendait son tuteur à l'une des questions qui lui avait été posé

Menataï, les Hayaku sont certes des assassins et sont aussi poursuivis par le gouvernement...Mais leurs éxécutants sont uniquement des gens qui obéissent aux ordres qu'ont leur a donné en espérant que ça apportera la paix et la sécurité à leur famille...Il ne faut donc pas les tuer inutilement...Sinon nous nous rabaissons à ce qu'ordonne le Kazekage actuel et ce que font ses hommes de mains...

~~ Fin du Premier Flash Back ~~

~~ Deuxième Flash Back ~~

Il s'agissait d'une phrase que son frère lui avait dite là-haut...

C'est lâche !

~~ Fin du Deuxième Flash Back ~~

Il frappa le garde à la tête avec la garde du katana, celui-ci s'écroula sans un bruit et sans que son sang ne soit versé...Menataï récupéra alors les clés et fonça droit vers les cellules...

Compagnons je vous libère tous ! Fuyez pendant que vous le pouvez !

Il ouvrit trois cellules et une douzaine de Hayaku s'enfuyèrent...Alors que les plaintes et les suppliques des autres prisonniers raisonnaient dans la prison, Menataï s'enfuya dans le corridor...

* * * * * * * * *

Arès fit le tour de la pièce du regard...Pas une seule issue ne se présentait...Il fallait donc soit faire exploser à nouveau le pan de mur au risque d'utilise le dernier parchemin explosif qu'il possédait pour rien en voyant une nouvelle issue immédiatement bouchée ou même en mourrant recouvert par les décombres du toit qui s'effondrerait...Par conséquent il n'y avait plus qu'une seule issue...La fenêtre...Il alla vers elle lorsque soudain un grapin s'attacha au rebord...

~~ Kuso ! Trop tard, ils savent déjà qu'il n'y a plus qu'une seule issue...Seulement j'imagine qu'il y a encore plein de gardes en bas...Plus les patrouilles qui ont dut rappliquer à l'explosion...Ca fait un paquet de gens...Trop d'ennemis ayant une seule cible...Donc trop facile en vérité... ~~

Il éxécuta un multi-clonage et créa cinq clones...Chacun descendit après l'autre sur les toits... Pour que l'illusion soit parfaite, il avait fait un seul clone consistant. Ainsi ce clone serait vu comme l'assassin présumé et les autres comme des leurres. Arès foncerait donc ensuite dans l'escouade qui arrivait. Celle-ci en fait sortie dehors par une fenêtre

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