Ne faisant pas attention aux autres personnes présentes, la jeune Mizuno laissa son regard dans celui de cet homme, dont elle ne connaissait pas encore le nom. Lorsqu'elle le vis avancer, elle sentit son coeur battre un peu plus fort. Plus il s'approchait d'elle, plus elle sentait son organe battre vite et fort. Aiko resta quelques instants sans bouger. Une fois sa paralysie dissipé, elle posa sa main sur sa joue et sentit qu'elle était chaude et sûrement rose. Une joue plutôt banal, mais ce rose était si claire à cause du teint de porcelaine de la jeune fille.
Je suis toute à vous. Mais si votre regard ce perd dans le mien, il vous suffit d'arrêter de me regarder.
La demoiselle eut un léger sourire en coin. Elle sentit quelque chose sur sa main, elle baissa la tête quelques seconde et vit la main de ce shinobis, recouvrant la sienne. Ils arrivèrent tout deux dehors, le froid? Aiko ne le sentait pas, elle venait d'ici, de ce pays. La chaleur sur sa main, qu'elle avait apprécié disparu. Les deux mains, de cet homme qui rendait le coeur de la jeune fille fou, la recouvrait de son manteau. La jolie Mizuno, remarqua que maintenant elle portait son odeur. Puis sa main retourna dans la précédente.
Aiko ne dit mot et serra la main qui la tenait un peu plus fort. Une nouvelle question arriva. Pourquoi était elle dans l'Akatsuki. Il y avait tellement de réponses à donner... Mais laquelle exposer? De sa main libre, elle colla son index aux lèvres de celui qui la rendait heureuse en elle.
Plus de vous... Je m'appelle Aiko, et j'aime pas qu'on me vouvoie.
Elle laissa son index sur ces lèvres et colla la reste de son corps à celui opposé. Pour avoir plus chaud? même elle, elle ne le savait pas.